Parler de tout et de rien

le kgb va faire son enquete ...;

tu aurais du choisir tes potes berlu

je crois que tout leur bien vont etre bloque ( en europe) aux oligarques russes

c'est un belge; il vit là-bas depuis 40 ans, j'ai vu justement sa soeur ce matin

j'avais fait les 24 h moto de Francorchamps avec lui en 73 je crois sur Honda 750 puis il a rencontré une de vos compatriotes et est à Anglet, suis déjà allé chez lui mais çà fait un bail, par contre, belle région et bien mangé les cochonnailles

ok

oui vu sur c news aussi .

conflit sorti des radars et qui nous revient en boomerang maintenant .

https://fr.style.yahoo.com/choc-cnews-photos-crues-crimes-114714207.html

la raison l emportera il faut l esperer .

https://www.lesoir.be/427268/article/2022-03-01/la-justice-tranche-le-cst-wallon-nest-plus-justifie

la Justice de mon "fief" voit clair

une autre...
https://www.youtube.com/watch?v=AYFMLtNAGQU&t=14s

ça n en prend pas le chemin .

c est tres triste .

Désespère pas Didi

Les nouvelles vont vite
http://francesoir.fr/node/262462

yo . desespere pas , c est pas rejouissant quand meme .

ils nous laisseront juillet aout peut etre , et apres ça repartira avec le covid

ah parle a 20 h notre grand totem

j espere que que la françe va cesser toute relation diplomatique et economique avec les pays qui ne sont pas des democraties sur cette planéte

outre la russie et la chine , il y a une quarantaine de pays majoritairement en extreme orient et afrique .

il serait en continuite avec les messages de ses differents ministres .

peu de chance qu il le fasse

https://www.cnews.fr/monde/2022-03-01/volodymyr-zelensky-quand-le-president-ukrainien-gagnait-danse-avec-les-stars

drôle de mec

Si tu savais ce qu'on en dit chez nous de ça

Je n'ose pas l'écrire

on devra payer le prix de la democratie , notre commandeur l a dit hier .
dire qu on va se le remanger 5 ans ...;

les armes doivent se taire maintenant .

il nous prend en quelque sorte en otage ce president .. mais surtout il envoie a la mort des milliers d ukrainiens . ce ne sont pas des cocktail molotov qui font freiner l avançee russe .

tres difficile a supporter les images qui sont diffuses meme pour des adultes .

Baigné dès son enfance dans un climat de méfiance et dans l’espionnage, Vladimir Poutine, ancien membre du KGB présidant aujourd'hui à la destinée de la Russie et homme fort du Kremlin a "une revanche à prendre", comme l’explique Alexandre Adler, l’invité de Danielle Welter sur La Première ce jeudi 3 mars.

Historien, professeur, journaliste et spécialiste de l’union soviétique, Alexandre Adler a tenté à cette occasion d’apporter quelques clés de compréhension sur la personnalité de Vladimir Poutine et sur ce qui l’a amené à devenir l’homme qu’il est aujourd’hui.

Une enfance difficile

Alexandre Adler explique que Vladimir Poutine a eu une enfance difficile. Enfant, son père, Vladimir Spiridonovitch Poutine, a été envoyé au goulag. L’historien explique que son père a été un homme décisif dans la plus grande bataille autour de Stalingrad. Il fut également un agent du NKVD, la police secrète russe.

De son côté, Vladimir Poutine a été envoyé dans un orphelinat soviétique : "C’est un enfant qui a été pratiquement martyrisé", raconte l’historien. "Je ne vais pas faire une description à la Dickens d’un orphelinat soviétique, mais personne ne sort indemne de cette épreuve. Un certain nombre d’amis de son père ont pensé qu’il ne pourrait pas sortir indemne de cette expérience et ont demandé à Iouri Andropov de faire quelque chose pour leur vieux camarade et d’au moins sauver l’enfant."

Ainsi, après avoir été séparé de son père biologique, Vladimir Poutine a été adopté par Iouri Andropov. "Il est né si on peut dire dans deux familles royales", explique Alexandre Adler. "C’est le premier pays communiste de la terre, et c’est aussi le premier pays aristocratique ou les titres existent. En Russie, c’est très important."

Iouri Andropov est devenu successivement chef de l’étranger socialiste, chef du KGB et enfin, le chef suprême de toute l’union soviétique. "Dans le carré de la famille, on retrouve le jeune Andropov. Il était considéré comme le fils adoptif d’Andropov. Ces deux hommes ont façonné Poutine qui s’est cru fils de héros."

Vladimir Poutine a eu une enfance difficile. Enfant, son père, Vladimir Spiridonovitch Poutine, a été envoyé au goulag. L'historien explique que son père fut un homme décisif dans la plus grande bataille autour de Stalingrad. Il fut un temps agent du NKVD, la police secrète russe.

De son côté, Vladimir Poutine a été envoyé dans un orphelinat soviétique : "C’est un enfant qui a été pratiquement martyrisé", raconte l'historien. "Je ne vais pas faire une description à la Dickens d'un orphelinat soviétique, mais personne ne sort indemne de cette épreuve. Un certain nombre d’amis de son père ont pensé qu’il ne pourrait pas sortir indemne de cette expérience et ont demandé à Iouri Andropov de faire quelque chose pour leur vieux camarade et d'au moins sauver l’enfant."

Une revanche à prendre

De son enfance difficile, Vladimir Poutine a une double revanche à prendre : une première "sur son enfance où il a été maltraité horriblement" et une autre "sur le fait qu’il a été à ses yeux sous-estimé. Il estimait avoir le droit de jouer un rôle plus important que celui qu’on lui a réservé. Il a toujours fait appel des jugements condescendant dont il a été victime et il a montré ensuite dans son application du pouvoir et dans les méthodes qu’on lui a appris beaucoup de savoir-faire."
Une paranoïa justifiée

Élevé dans un climat de méfiance depuis son enfance, Alexandre Adler indique que Vladimir Poutine avait des raisons d’être méfiant et revient sur une partie des causes de sa paranoïa : "Tout se déclenche quand à un moment donné, on reçoit une nouvelle qu’on pense être une fake news, annonçant qu’il souffre de la maladie de Parkinson. La CIA a pu par la suite remonter à la source de la nouvelle… qui s’est avérée être le Kremlin. C’était directement les amis de Poutine, les serviteurs de Poutine, ceux qui étaient supposés être sa garde personnelle qui se sont permis de communiquer sur cette information en disant : "Vous savez, vous croyez qu’il est le chef de toutes les Russies, mais il est d’abord malade de Parkinson.""

"Suite à cet événement, Vladimir Poutine s’est dit qu’ils avaient planifié sa destitution", ajoute Alexandre Adler. Son propre camp considérait en effet qu’il faisait à ce moment-là trop de concessions à la Chine et tentait de le déstabiliser. "Même les paranoïaques ont parfois des ennemis", conclut Alexandre Adler en citant Henry Kissinger. "C’est son cas".

c est clair , ça rassure pas .

macron vient d avoir poutine au telephone .

il veut envahir tout l ukraine , il ne negociera pas .

ça se presente pas bien